Le cinéma colombien, né dans les années 1920, s'offre une renommée internationale seulement à partit du début du XXIème siècle, une volonté politique qui favorise la production de longs métrages irriguant les festivals du monde entier. Au centre des films, la question du territoire est primordiale (comme L'étreinte du serpent de Ciro Guerra), racontant le peuple de la campagne colombienne, les liens entre passé et présent, à l'instar de La terre et l'ombre de César Acevedo.
L'une des questions qui animent le cinéma colombien, passé comme présent, ce sont les rêves et les aspirations de jeunes gens souvent sans espoir et sans argent (Gente de bien de Franco Loll). |
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